Beaucoup d’entre vous se posent encore cette question. Mais pourquoi faut-il donc porter un masque de ski ? Des lunettes de soleil ne suffisent-elles pas ? Dans cette article, nous allons essayer de vous éclairer et de vous apporter quelques réponses à toutes vos interrogations sur le sujet. Car sachez qu’en montagne la protection oculaire est tout aussi indispensable qu’une doudoune. Alors afin d’éviter des conséquences graves à court et long terme, voici quelques pistes.
Pourquoi porter un masque de ski ?

Avec une météo très changeante en montagne, qu’il y a du soleil, qu’il neige, qu’il vente… le masque de ski permet de vous protéger de la luminosité et de la réverbération. Avec des radiations solaires qui augmentent de 10% tous les 1000 mètres ainsi qu’une réverbération de plus de 80% vous conviendrez qu’une protection à la hauteur est totalement justifiée. Car même par temps couvert, vos yeux ne sont pas à l’abri d’une inflammation. Il est souvent observé par les professionnels des ophtalmies des neiges provoquées par l’exposition non-
Mais comment le choisir ?
Tout d’abord sachez que c’est l’indice de protection des verres qui va être important. Les masques se déclinent en 4 catégories, de la plus faible luminosité à la plus intense. Ensuite le choix de l’écran, photochromique et/ou polarisant. Un écran photochromique s’avère bien plus pratique que de devoir changer l’écran de votre casque (oui, oui l’écran se change) en fonction de la météo du jour. Car l’écran photochromique a cet avantage là, il s’adapte à la luminosité extérieure. L’écran polarisant quant à lui est l’anti-éblouissement par excellence. Normalement la plupart des masques sont dotés d’un écran polarisant. Autre aspect important, faut-il opter pour un écran cylindrique ou sphérique ? Le premier s’adapte mieux à la forme du visage et ne déforme pas les images. Le second plus bombé offre un champ de vision plus large.